Association Nationale des Jeunes Economistes du Burkina Faso

Association Nationale des Jeunes Economistes du Burkina Faso

RAPPORT GENERAL DE LA COMMEMORATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA JEUNESSE

Les 12 et 13 août 2016, la Journée Internationale de la Jeunesse a été commémorée au Burkina Faso par l’Association Nationale des Jeunes Economistes du Burkina Faso et Jeunes Professionnels pour le Développement Agricole (YPARD Burkina Faso).

 

Evènement parrainée par Monsieur Paul Taryam ILBOUDO, Maire de Loumbila, ce fut le moment pour les deux associations d’initier leurs membres aux outils web 2.0 et de faire une situation sur les différentes opportunités de financements disponibles pour booster l’entreprenariat agricole des jeunes.

 

Pour télécharger le Rapport Général, CLIQUEZ ICI

 

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09/09/2016
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LES DOCTORANTS DE L’UNIVERSITÉ OUAGA II A L'ECOLE DES OUTILS DE RECHERCHE ET DE DOCUMENTATION SCIENTIFIQUE

Du 11 au 13 juillet 2016, l’école doctorale de l’Université Ouaga II a organisé dans la salle de conférence de l’AUF un atelier de formation au profit de ses doctorants sur les outils de recherche et de documentation scientifique. Cet atelier a mobilisé une trentaine de doctorants.

 

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1er jour :

 

Après le mot de bienvenu du Directeur de l’Ecole Doctorale, prononcé par son adjoint le Professeur Omar TRAORE, la session de formation a été ouverte par le vice-président chargé des enseignements et des innovations pédagogiques de l’Université Ouaga II, le Professeur François de Charles OUEDRAOGO.

 

A la suite de la cérémonie d’ouverture, on a assisté à une première communication du Docteur Issa BORRO responsable de l’AUF Burkina sur  les « Enjeux des Informations scientifiques et techniques (IST) pour la recherche». Après avoir présenté les sources de l’Information Scientifique et Technique, il a fait cas des démarches pour la recherche de cette information et les enjeux pour nos universités. On retient de son exposé différentes stratégies de recherche et une gamme variée d’outils de recherche.

 

Après cette communication, deux exposés ont été présentés par les formateurs. Le premier exposé, présenté  par Monsieur Benjamin SIA de l’IFOAD, nous a instruits sur les annuaires, les moteurs et les métamoteurs de recherche. Il a indiqué quelques astuces pour accéder à la meilleure information. Le deuxième exposé, a été présenté par Jean Marc YAMEOGO de l’IFOAD sur les opérateurs de recherche et formulation des requêtes de recherche, suivi de travaux pratiques et d’échanges.

 

2ème  jour :

 

M. Jean-Marck YAMEOGO a fait une synthèse des travaux de la première journée.

Durant cette journée, les travaux ont été axés sur les modules 2 et 3, à savoir les sources de l’information scientifique et les outils de gestion de la bibliographie. Il  y a eu trois (03) exposés suivis chacune des travaux pratiques. Les deux premiers exposés ont porté sur le module 2 et le 3ème  a été consacré au module 3.

 

Le premier exposé présenté par M. Jean-Marck YAMEOGO a porté sur les sources de l’information scientifique et technique. L’exposé organisé en 5 points a fait ressortir les stratégies de recherche de l’information scientifique, quelques catalogues et bibliothèques sur Internet ainsi que les banques de données en ligne.

 

Il a aussi fait cas de quelques revues électroniques et leur contenu, les répertoires des dictionnaires et encyclopédies, les blogs et les sites webs officiels ou d’actualité concernant l’économie et le droit.

A l’issue de l’exposé, il a eu des travaux pratiques accompagnés des débats.

 

On retient donc qu’il faut :

-          Cerner le besoin

-          Formuler le besoin en information

-          Repérer les sources pertinentes (Types de sources selon votre objectif)

-          Identifier les outils à exploiter en fonction de ces sources (moteur de recherche, annuaire…)

-          Interroger les outils

-          Et évaluer la qualité

 

Le deuxième exposé présenté par M. Benjamin SIA a porté sur l’évaluation de l’information. Le présentateur a structuré l’exposé en trois points :

Après avoir justifié la nécessité d’évaluer l’information, l’exposant a présenté les critères et le processus d’évaluation de l’information scientifique avant de montrer son utilisation.

 

Après la présentation, il y a eu des échanges entre l’exposant et les participants.

Le 3ème exposé introduisant le 3ème  module a été aussi présenté par M. SIA. Il s’agit d’une présentation sur les outils de gestion bibliographique. Après avoir présenté l’interface de Mendeley et son lien de téléchargement les travaux ont été entravés par le faible débit de la connexion Internet. Les participants ont été invités à s’appliquer eux-mêmes pour les séances de la troisième journée.

 

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3ème jour:

 

Après une synthèse des travaux des jours 1 et 2, Monsieur SIA est revenu sur l’outil de gestion bibliographique Mendeley. Il s’en est suivi des travaux pratiques sur Mendeley avec un accent particulier sur les plugins d’insertion pour le traitement de texte, d’exportation et de marqueurs.

Enfin Monsieur Benjamin SIA est revenu sur la veille documentaire, technologique et scientifique. L’on note que ce veille documentaire consiste en la surveillance d’un environnement, d’un domaine bien précis pour en identifier les opportunités et les menaces. Les différents processus liés à cette veille ont été présentés.

 

Recommandations

 

A l’issue de cet atelier de formation, il a été recommandé de

-   renforcer la politique national de diffusion de la culture scientifique et d’œuvrer à réduire la fracture informationnelle. A cet effet, les doctorants proposent que l’école doctorale face des efforts pour mettre à leur disposition des revues et ressources électroniques ;

-   En plus, ils sollicitent une salle de travail pour les doctorants afin de faciliter leurs travaux de recherche, une plateforme d’échange en ligne, la mise à leur disposition des nouveaux textes et les maquettes de la thèse ;

-    Les doctorants sont invités à faire la promotion de leur propre recherche à travers des outils numériques ;

-    Il a été surtout recommandé qu’il y ait une rencontre officielle avec les autorités de l’école doctorale.

 

Ouagadougou le 15 juillet 2016

 

Rapporteurs : Drs Abdoulaye SIRY  et  Drs Hamadoum TAMBOURA 


15/07/2016
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ASSISES NATIONALES DES JEUNES ÉCONOMISTES DU BURKINA: DU 20 AU 21 NOVEMBRE 2015 A OUAGADOUGOU

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Du 20 au 21 novembre 2015 dans la Salle de Conférence du Centre  National Cardinal Paul ZOUNGRANA-OCADES à Ouagadougou

 

Sous le parrainage de Monsieur le Ministre de l’économie et des finances

 

L’Association Nationale des Jeunes Economistes du Burkina (ANJE-BF) vous invite à la 1ère édition de ses Assises sous le

 

Thème : LES DEFIS ECONOMIQUES DU RENOUVEAU DEMOCRATIQUE AU BURKINA FASO : CONTRIBUTION DE LA JEUNESSE A LA REFLEXION 

               SUR L’AGENDA POST-TRANSITION

 

Les inscriptions (gratuites)  sont ouvertes. Pour ce faire appeler ou envoyer par sms votre nom et prénom, votre adresse email et numéro de téléphone. Vous pouvez aussi vous inscrire à l’adresse email suivant : anje_bf@yahoo.fr;

 

Pour télécharger le programme officiel des assises CLIQUEZ ICI.

 

Contacts : +226 71273827   /   79655833   /   70705265

                 Email: anje_bf@yahoo.fr

 

Localisation du lieu de déroulement des assises:

 

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Nos partenaires :

 

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17/11/2015
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SESSION DE FORMATION SUR Les techniques de conception des projets et programmes

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13/03/2017
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LA BANQUE MONDIALE REVOIT SES PREVISIONS DE CROISSANCE ECONOMIQUE A LA BAISSE POUR L’AFRIQUE SUBSAHARIENNE

A la quatrième édition d’Africa’s Pulse tenue en vidéoconférence le 29 septembre 2016 sur les perspectives économiques de l’Afrique, l’Association Nationale des Jeunes Economistes du Burkina Faso (ANJE-BF) à l’instar d’autres organisations de recherche, de société civile et des média n’a pas manqué d’y prendre part à Ouagadougou au Burkina Faso.

 

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Vue de représentants résidents de la Banque mondiale Burkina Faso ; Lionel YARO et Mariam DIOP

 

La Banque mondiale revoit ses prévisions de croissance économiques à la baisse en Afrique subsaharienne par rapport aux prévisions d’avril 2016. Le taux de croissance devrait continuer de baisser à 1,6 % en 2016, après avoir ralenti à 3 % en 2015. Ce ralentissement s’explique par le fait que les grandes économies (Nigéria et Afrique du Sud) de la région continuent de subir les répercussions de la chute des cours des matières premières notamment le pétrole.

 

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Conférenciers en direct de Washington ; Albert Zeufack à Droite, Economiste en Chef de la Banque mondiale pour l’Afrique

 



Malgré cette morosité générale, il ressort des analyses d’Africa’s Pulse qu’un quart des pays en Afrique parviennent à maintenir une bonne dynamique de croissance. L’Ethiopie, le Rwanda et la Tanzanie (taux de croissance supérieur à 6 %), la Côte d’Ivoire et le Sénégal sont des économies les plus dynamiques.

 

L’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, Albert Zeufack attribue ces performances relatives à la solidité du cadre de gestion macroéconomique et à une réglementation plus favorable aux activités commerciales.

 

Du moment où la baisse des matières premières, notamment le pétrole, répond de plus en plus à des normes structurelles, la reprise devrait être modeste en 2017 et 2018, soit respectivement une croissance réelle du PIB prévue à 2,9 % et 3,6 %.

 

L’urgence pour certains pays (notamment pétroliers) serait de procéder à des ajustements structurels pour résister aux chocs et réorienter leur politique macroéconomique.

 

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Vue de participants à Ouagadougou, le Professeur Idrissa M. OUEDRAOGO Directeur du CEDRES 2ème à partir de la gauche

 

 

 

La diversification des économies d’Afrique est un impératif, tout en améliorant la productivité agricole. La productivité agricole dans la plus part des pays d’Afrique subsaharienne est en baisse. Il est préconisé d’améliorer la productivité des petits exploitants agricoles en vue d’augmenter les revenus des populations rurales en Afrique subsaharienne.

 

 

Au-delà de la vidéoconférence, les débats se sont poursuivis dans les locaux de la Banque mondiale à Ouagadougou. Le Pr Idrissa M. OUEDRAOGO et Mariam DIOP sont revenus sur certains principes qui justifient l’hétérogénéité de la croissance dans les différents pays et certaines incohérences de la politique économique au Burkina Faso. Des participants jugent les préconisations de la Banque mondiale pertinentes, seulement qu’il faudra prendre le soin d’évaluer les risques liés à la difficile redistribution des revenus agricoles sur l’économie dans son ensemble. L’enlisement dans le secteur agricole est un grand facteur de risque.

 

Ouagadougou le 01 octobre 2016

Abdoulaye SIRY

Secrétaire Général / ANJE-BF

 


03/10/2016
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